Chef des placements, Sophus Capital
Michael Reynal est chef des placements de Sophus Capital et gestionnaire de portefeuille du Victory Sophus Emerging Markets Fund, du Victory Sophus Emerging Markets Small Cap Fund et du Victory Sophus China Fund. L’équipe RS Investments Emerging Markets a été renommée Sophus Capital en juillet 2016 lorsque RS Investments a été acquise par Victory Capital. Sophus Capital est une franchise d’investissement de Victory Capital.
Michael a commencé sa carrière en placement en 1991 en gérant des placements en titres de capitaux propres en Amérique latine, en Méditerranée, dans les Balkans et dans d’autres régions. Il a récemment occupé le poste de gestionnaire de portefeuille pour Principal Global Investors, où il a dirigé l’équipe Marchés émergents. Il était aussi responsable de la surveillance de portefeuilles diversifiés des marchés émergents et de stratégies spécialisées axées sur les actions régionales en Asie.
Michael est titulaire d’un baccalauréat en arts du Middlebury College, d’une maîtrise de Christ’s College de l’Université de Cambridge et d’un MBA de la Amos Tuck School du Dartmouth College.
De l’Amérique latine à la Chine, plusieurs économies présentent de bonnes perspectives, dit Michael Reynal. (Durée : 6 min, 22 s; taille : 4,26 Mo)
Les aléas de la Fed ont fait chuter plusieurs devises émergentes créant ainsi des aubaines, dit Michael Reynal. (Durée : 3 min, 37 s; taille : 2,55 Mo)
Leur relative stabilité politique est attrayante pour les investisseurs, croit Michael Reynal. (Durée : 5 min, 57 s; taille : 2,79 Mo)
En ces temps de protectionnisme américain, il ne faut pas sous-estimer la vitalité des pays émergents, dit Michael Reynal. (Durée : 5 min, 48 s; taille : 2,73 Mo)
Il définit actuellement les marchés émergents, croit Michael Reynal.
Boom des technologies de l’information et de la consommation, indique Michael Reynal.
Les trucs de Michael Reynal pour prévoir la volatilité politique.
« Beaucoup se demandent si la croissance du PIB a un impact sur la croissance des revenus des entreprises. Elle devrait être de 4,5% en 2014 et de 5,2 ou 5,3 en 2015, ce qui est supérieur aux pays développés. Mais est-ce que cela a un effet sur les titres boursiers ? », se demande […]