Gestionnaires en direct – À vous le monde

29 mai 2014 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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Les marchés mondiaux vous donnent accès aux meilleures entreprises, à condition de bien comprendre les risques, rappelle George Dent, gestionnaire de portefeuille chez Walter Scott & Partners Limited à Édimbourg, en Écosse.

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« La première chose que nous faisons lorsque nous analysons une entreprise, c’est d’observer son historique, et particulièrement la manière dont elle s’est comportée dans des environnements difficiles. Nous recherchons également des preuves de sa robustesse et de sa résilience. Ensuite, nous évaluons si le prix est juste », explique George Dent.

Dans un portefeuille mondial, il est difficile de bien comprendre les tendances de chaque région, reconnaît l’expert. Dernièrement, son équipe a observé une transition entre les États-Unis et le reste du monde.

« Nous remarquons un intérêt accru pour les marchés mondiaux, sans doute en raison des hausses boursières en Amérique du Nord. Cela dit, tout peut changer demain! »

Les investisseurs qui s’en tiennent au Canada négligent une bonne partie de l’équation, prévient George Dent. « Le Canada vous limite à quelques secteurs, soit l’énergie, les matières premières et les services financiers. En allant aux États-Unis, vous élargissez votre diversification avec les technologies et la santé notamment. Et si vous explorez le reste du monde, cela vous donne accès aux meilleures entreprises de chaque industrie, plutôt que les chefs de file régionaux. »