Gestionnaires en direct – Dites au revoir aux obligations

18 février 2014 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
1 minutes de lecture
Pink sticky note pinned to an office notice board. Ciao – Italian language for « hi » and « bye ».

À ce jour, plus aucun de vos clients ne devrait encore avoir d’obligations parmi ses placements, juge Barry Morrison, président de Aston Hill Institutional Partners, à Toronto.

« Si nous avions eu cette conversation il y a 25 ans, j’aurais eu une opinion tout à fait différente. Il fut un temps où on obtenait des taux d’intérêt dans les deux chiffres sur les obligations du gouvernement, avec zéro risque. Alors on en remplissait le portefeuille à 70 % et le reste était consacré à des actions. »

Ces jours sont bien disparus, puisque les obligations offrent maintenant des rendements faibles ou même négatifs. Reste à en convaincre vos clients les plus prudents, explique Barry Morrison.

« Bien des gens ont grandi dans un monde où la règle était de placer la moitié de ses actifs dans des obligations, et l’autre dans des actions. Mais il faut leur expliquer que les règles ont changé. Aucun de vos clients, quel que soit son âge, ne devrait encore avoir d’obligations dans son portefeuille. »