Courtage en ligne : Disnat encore numéro un

Par Ronald McKenzie | 21 septembre 2012 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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Pour une quatrième année d’affilée, le courtier en ligne Disnat domine le palmarès annuel de la firme J. D. Power and Associates.

En effet, cette unité d’affaires de Valeurs mobilières Desjardins a récolté 768 points sur une possibilité de 1000. Elle figure également parmi les firmes les plus performantes, tous facteurs confondus. Disnat est suivie de BMO Ligne d’action (720 points) et de Courtage direct Banque Nationale (719 points). Le tableau ci-dessous donne tout le classement.

Disnat

768

BMO Ligne d’action

720

Courtage direct Banque Nationale

719

Courtage à escompte TD Waterhouse

707

Moyenne sectorielle

700

Questrade

690

RBC Placements en Direct

687

Pro-Investisseurs CIBC

686

InvestDirect HSBC

686

Placement direct ScotiaMcLeod

685

Qtrade Investor

678

Scotia iTRADE

656

Le palmarès de J. D. Power and Associates mesure la satisfaction des investisseurs à l’égard de leur principal courtier en ligne en fonction de six facteurs clés : interaction, frais de transaction et commissions, renseignements sur les comptes, produits offerts, ressources en matière d’information et résolution de problèmes.

L’étude signale que les investisseurs canadiens sont passablement volages vis-à-vis des courtiers en ligne. Seuls 19 % des participants ont répondu « tout à fait d’accord » quand on leur a demandé s’ils sont fidèles envers leur principale société de placement. Pas plus de 23 % des personnes interrogées ont affirmé qu’elles « recommanderont sûrement » leur institution financière principale.

« Toutes les grandes banques canadiennes offrent à leurs investisseurs des services de courtage réduit afin que leurs divers besoins puissent être satisfaits en un seul endroit. Le fait de ne pas offrir aux investisseurs les services auxquels ils s’attendent, par rapport à leurs services bancaires ou consultatifs, peut faire en sorte que leurs expériences soient inégales, nuire à la valeur de la marque d’entreprise et, pis encore, aggraver les pertes de clientèle et d’actifs sous gestion », explique J. D. Power and Associates.

Ronald McKenzie