Forte confiance des Québécois envers les conseillers

Par Ronald McKenzie | 23 novembre 2012 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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Plus de 90 % des Québécois disent avoir assez ou entièrement confiance en leur conseiller principal en finances personnelles, révèle un sondage de la Chambre de la sécurité financière.

Une proportion tout aussi élevée (92 %) apprécie la qualité des services rendus par leurs conseillers. Seulement 4 % des participants font peu ou pas du tout confiance à leur conseiller. Le tiers des personnes interrogées les perçoivent comme des professionnels, 16 % trouvent que ce sont des vendeurs et 50 % sont demeurées neutres.

Bien que le public ait un très haut niveau de confiance envers les conseillers, il est un peu moins enthousiaste vis-à-vis de la profession dans son ensemble, avec un taux de satisfaction de 73 %.

En ce qui concerne la Chambre elle-même, son taux de notoriété de 28 % seulement indique que son existence demeure un mystère pour un grand nombre de Québécois.

Quand même, 88 % des personnes interrogées jugent utile la mission que remplit l’organisme d’autoréglementation. Plus des trois quarts pensent que la Chambre peut les aider à obtenir de l’information sur les services professionnels financiers.

« Je suis heureux des résultats de ce sondage qui reflètent les efforts que la Chambre a déployés afin que le public québécois reconnaisse la valeur des conseils prodigués par les professionnels qu’elle encadre », a commenté Luc Labelle, président et chef de la direction de la Chambre.

Ce coup de sonde portait essentiellement sur la connaissance et les perceptions du grand public envers la Chambre et la profession de l’industrie des services financiers. La présentation a été faite à l’occasion du Congrès de l’assurance et de l’investissement qui avait lieu au Palais des congrès de Montréal.

Ronald McKenzie