Le meilleur moment pour souscrire une assurance vie?

L’Association canadienne des compagnies d’assurances de personnes a lancé mardi une « campagne éducative » sur le Web intitulée C’est le moment! afin d’inciter les jeunes adultes à souscrire une assurance vie.

L’ACCAP entend ainsi les informer que « pour se procurer une assurance vie, il n’y a pas de meilleur moment que maintenant », alors qu’ils sont « jeunes et en bonne santé », indique l’association dans un communiqué.

Le site interactif de la campagne leur permettra de trouver réponse à des questions courantes sur ce type de produit. Ils pourront aussi y calculer le montant d’assurance dont auraient besoin leurs survivants en cas de décès, de même qu’accéder directement aux sites Web des différents assureurs du Canada pour comparer leurs offres.

OUTILS PRATIQUES ET VIDÉO

« De nombreux jeunes adultes sont déjà conscients des avantages de commencer tôt à épargner pour la retraite, et nous voulons qu’ils sachent que la souscription d’une assurance vie quand on est jeune, en bonne santé, et que les primes sont peu élevées présente des avantages semblables », justifie Frank Swedlove, président et chef de la direction de l’ACCAP.

« La plupart des gens, les jeunes en particulier, n’ont aucune envie de penser assurance vie. Nous avons donc créé C’est le moment! pour expliquer de façon concise et pertinente en quoi consiste ce produit et pourquoi il est si important de s’assurer. Dans un style direct, et à l’aide d’outils pratiques et d’une vidéo, nous espérons leur fournir des renseignements qui sauront leur être utiles à cette étape clé de leur planification financière à long terme », ajoute le dirigeant.

Les membres de l’ACCAP détiennent 99 % des affaires d’assurances vie et maladie en vigueur au Canada. Cette industrie fournit à 28 millions de Canadiens une large gamme de produits en dehors de l’assurance vie, comme les rentes (régime enregistré d’épargne-retraite, fonds enregistré de revenu de retraite et régimes de retraite, par exemple) et l’assurance maladie complémentaire. Elle détient près de 720 G$ d’actifs au pays et emploie environ 155 000 personnes.