Les FNB? De quessé?

Par Ronald McKenzie | 7 novembre 2013 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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Bien que la presse financière parle d’eux régulièrement, les fonds négociés en Bourse (FNB) demeurent un mystère pour la majorité des épargnants.

En effet, une étude de BMO révèle qu’à peine 19 % des investisseurs canadiens disent « s’y connaître » en la matière. Par comparaison, ils sont 58 % à savoir ce que sont les CPG et 55 % à connaître les fonds commun.

« Les [FNB] n’existent que depuis une vingtaine d’années, alors il est parfaitement compréhensible que les Canadiens soient encore en train d’apprendre à les connaître », a expliqué Jean Richard, vice-président, Groupe de gestion du patrimoine, chez BMO Nesbitt Burns.

Selon BMO, lorsqu’on leur explique les avantages des FNB, 60 % des personnes sondées admettent qu’elles seraient prêtes à les ajouter à leur portefeuille de placement.

Et quels sont ces avantages? BMO en énumère une demi-douzaine qu’il peut être utile de rappeler :

* L’accès à un panier de titres diversifiés pouvant comprendre des actions, des obligations ou des marchandises.

* Des frais de gestion peu élevés.

* L’achat et la vente faciles, car les FNB sont négociés comme des actions à la Bourse.

* La transparence des positions, afin que les investisseurs puissent toujours voir ce qu’ils possèdent.

* Une approche ciblée en matière de placement : au-delà du marché général, les FNB sont aussi associés à des régions, à des marchés, à des secteurs ou à des thèmes particuliers.

* Une efficience fiscale résultant d’un faible taux de rotation du portefeuille.

Ronald McKenzie