Les Québécois férus des services bancaires en ligne

Par Ronald McKenzie | 8 septembre 2011 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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Pour se simplifier la vie, un nombre croissant de Québécois règlent leurs opérations bancaires courantes en ligne, indique un sondage de TD Canada Trust.

Par exemple, ils sont les moins enclins au pays à se rendre dans une succursale pour payer leurs factures (3 % par rapport à 8 % à l’échelle nationale). Ils privilégient plutôt les services bancaires en ligne (68 %), les débits préautorisés (14 %), les services bancaires téléphoniques (4 %), ainsi que les paiements à un guichet automatique (8 %) ou au moyen d’un chèque envoyé par la poste (2 %).

« Les Québécois se tournent de plus en plus vers les services bancaires en ligne, en raison de la commodité, de la sécurité et de la gestion simplifiée des finances courantes que leur offrent de tels services », a expliqué TD Canada Trust.

En fait, les Québécois sont ceux ayant le plus souvent indiqué que l’adoption des services bancaires en ligne (53 % par rapport à 46 %) a été le changement le plus important survenu au sein de leurs habitudes bancaires au cours des cinq dernières années. Viennent ensuite la tenue de dossiers sans papier (12 %) et la consultation de leurs relevés par voie électronique (9 %).

Actuellement, plus des trois quarts des Québécois recourent aux services bancaires en ligne pour payer leurs factures.

Par ailleurs, les jeunes Québécois de 18 à 34 ans aiment utiliser une application mobile pour :

– Régler des opérations bancaires (19 % par rapport à 8 % à l’échelle nationale);

– Vérifier le solde de leurs comptes (18 % par rapport à 7 %);

– Effectuer des virements (10 % par rapport à 4 %);

– Payer leurs factures (8 % par rapport à 4 %).

La majorité de ceux qui n’emploient pas les services bancaires mobiles ont expliqué ce choix par le fait qu’ils n’avaient pas de téléphone intelligent (67 %). Ils sont quand même les moins susceptibles de percevoir les services bancaires mobiles comme peu sûrs (8 % par rapport à 14 %) ou trop coûteux (8 % par rapport à 12 %).

Ronald McKenzie