L’habilité dans les relations interpersonnelles prime, selon les directeurs de finance

23 juillet 2008 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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L’incapacité de vous entendre avec les autres vous empêchera de progresser au travail, comme le démontre un récent sondage mené auprès de directeurs financiers. En effet, 45 % d’entre eux ont affirmé que l’habileté dans les relations interpersonnelles était la plus importante compétence liée à la communication que doivent posséder les professionnels des finances.

« L’habileté dans les relations interpersonnelles est une compétence essentielle pour réussir dans toutes les professions, indique Max Messmer, président et chef de la direction de Robert Half International et auteur de Managing Your Career For DummiesMD, 2e édition. Les entreprises recherchent des comptables qui ont les compétences techniques requises mais qui peuvent aussi créer des liens avec leurs collègues, résoudre des conflits et favoriser l’atteinte d’un consensus au sein de l’équipe. »

On a posé la question suivante à 270 directeurs financiers au Canada : « Selon vous, parmi les compétences suivantes liées à la communication, quelle est la plus importante que doivent posséder les professionnels de la comptabilité et des finances? »

Les habiletés dans les relations interpersonnelles ont pris la pole position. Loin derrière se retrouvent les aptitudes pour la négociation, ainsi que la capacité à faire des présentations ou à s’exprimer en public, avec 26 % et 17 % respectivement. Les autres réponses incluent l’aptitude pour la rédaction (5 %).

Le sondage a été mené par un cabinet de recherche indépendant et élaboré par Accountemps, premier et plus important service de dotation de personnel temporaire au monde pour les professionnels de la comptabilité, de la finance et de la tenue de livres. Plus de 270 entrevues téléphoniques ont été effectuées avec des directeurs financiers provenant d’un échantillon stratifié de façon aléatoire. Pour que le sondage soit statistiquement représentatif, l’échantillon a été stratifié en fonction du secteur et du nombre d’employés (20 employés ou plus) des sociétés canadiennes. Les résultats ont ensuite été pondérés pour prendre en compte les proportions appropriées du nombre d’employés dans chaque secteur.