REER : la date limite de cotisation cause du stress

Par Ronald McKenzie | 10 janvier 2013 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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Près des deux tiers des Canadiens (60 %) ressentent de l’anxiété à l’idée d’avoir à trouver de l’argent pour cotiser à leur REER, indique un sondage de BMO Groupe financier.

Et l’arrivée rapide la date limite de cotisation pour 2012, soit le vendredi 1er mars 2013, contribue à exacerber leur nervosité.

« Cette source de stress peut être liée au fait que presque la moitié (49 %) des épargnants font une cotisation unique à leur REER en fin d’année plutôt que de cotiser de petites sommes régulièrement tout au long de l’année », avance BMO.

Par conséquent, la mise sur pied d’un programme d’épargne continue (PEC) permet d’atténuer les craintes de devoir amasser d’un coup une somme substantielle pour pouvoir cotiser.

Les PEC présentent deux avantages :

1. L’effort d’épargne est réparti durant toute l’année.

2. Les achats périodiques permettent de se procurer davantage de parts d’un fonds commun lorsque leur prix est en baisse. « Le coût unitaire moyen des unités que l’investisseur paie peut ainsi s’en trouver réduit à long terme », signale BMO.

Une fois qu’ils se sont familiarisés avec les avantages d’un PEC, les deux tiers des participants avouent qu’il est fort probable qu’ils utiliseront ce mode d’épargne à l’avenir, constate BMO.

Ronald McKenzie