Génération Y : des entrepreneurs à choyer

Superficielle, impatiente, irrespectueuse de l’autorité ou même impulsive : les qualificatifs ne manquent pas pour stigmatiser la génération Y. L’effronterie en plus, la morale en moins, ajouteraient de bon cœur les baby-boomers. La génération Y a mal à son image. Et pourtant.

Laissez de côté vos idées reçues et autres clichés du genre : « la génération Y passe son temps à chercher sa vie entre deux latte ». La réalité est tout autre. Certes, ces travailleurs ont besoin d’être connectés en permanence, de réseauter à qui mieux mieux ou d’obtenir des réponses immédiates. Mais cela ne les empêche pas de lancer des entreprises qui deviennent florissantes.

Un besoin d’autonomie et de prise de risques pour s’affranchir des contraintes du salariat et donner un sens à leur travail. Ou encore, trouver l’équilibre entre leur vie privée et leur vie professionnelle : voilà les idéaux poursuivis par les professionnels de la génération Y.

Comment capter cette nouvelle clientèle? Comment la fidéliser?

Quelques réponses dans notre série de cinq articles, portant chacun sur un jeune entrepreneur issu de la génération Y. Un dossier pour appréhender cette nouvelle race d’investisseurs.

Voici nos portraits :

• Ashley Dere – Mener la danse
• Gabriel Beauséjour et Tristan Houle – Une affaire de glisse
• Mélissa Simard – Sur le bout de la langue
• Julien Niquet et David Cayer – Brasser des affaires
• Chantal Brousseau – Avoir du flair