La majorité des employés ne sont pas satisfaits

Par La rédaction | 30 mai 2012 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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La société Right Management a récemment sondé plus de 400 employés aux États-Unis et au Canada. Elle a constaté que deux tiers des répondants sont soit insatisfaits ou peu insatisfaits de leur emploi actuel. Signalons de plus que seulement 19 % ont indiqué être entièrement satisfait de leur travail.

« La satisfaction au travail est un indicateur facile à comprendre », a déclaré Michael Haid, vice-président senior, gestion des talents, pour Right Management. « Nous ne posons pas de question quant au sentiment d’accomplissement ou de l’enthousiasme, mais plutôt par rapport à la satisfaction au travail, tout simplement… Désolé de l’annoncer, mais ce n’est pas une surprise lorsqu’il est question de travailleurs aux États-Unis et au Canada. Au cours des deux dernières années, lesquelles ont été plutôt difficiles, ils ont été francs. »

La faible satisfaction au travail n’est pas propice à une solide performance, a indiqué M. Haid. « Tout comme le stress au travail, la faible satisfaction peut affecter tout le lieu de travail, y compris l’engagement, la productivité, voire le recrutement et la rétention au travail. Alors que les employeurs, dans une certaine mesure, dépendent des tendances macro-économiques, il existe des mesures qui peuvent être prises pour stimuler la satisfaction au travail. »

Toujours selon M. Haid, l’outil le plus efficace pour les gestionnaires consiste à encourager les employés à prendre en main leur propre développement professionnel.

« Les employés peuvent se sentir coincés. Cet état ne signifie toutefois pas qu’ils ne peuvent pas croître », a-t-il souligné. « Les travailleurs ont besoin d’occasions de développement afin de continuer à bien faire leur travail et à élargir leurs propres développement professionnel. Ils doivent réaliser que leur employeur est disposé à investir dans leur apprentissage et leur formation. »

Traduction d’un article mis en ligne sur le site Web Small Biz Advisor de Rogers.

La rédaction