CELI : le Groupe Investors et Placements Mackenzie se mettent de la partie

14 octobre 2008 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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Les clients de 18 ans et plus du Groupe Investors et de Placements Mackenzie n’auront pas à attendre à 2009 pour ouvrir un nouveau compte d’épargne libre d’impôt (CELI). Ils peuvent déjà le faire et prévoir les cotisations qu’ils y verseront dès le 2 janvier.

En vertu de la loi fédérale, le CELI permettra aux particuliers de déposer jusqu’à 5 000 $ de fonds par an, qui pourront s’accumuler et être retirés en tout temps, et ce, à l’abri de l’impôt. Il aidera les Canadiens à économiser en vue de divers objectifs à court ou à long terme, tels que la retraite, les études des enfants, l’achat d’une voiture et des rénovations.

Divers placements pourront être investis dans un CELI du Groupe Investors, incluant des fonds communs de placement, des fonds de marché monétaire, des certificats de placement garanti (CPG) et des rentes certaines et des portefeuilles Profil du Groupe Investors. Le Groupe Investors permettra l’ouverture de CELI individuels et collectifs.

Pour le CELI Mackenzie, de nombreux placements seront aussi admissibles dont les fonds d’actions, les fonds de titres à revenu fixe, les fonds de répartition de l’actif, les fonds à échéancier, les fonds distincts, les fonds du marché monétaire et les dépôts.

« Le compte d’épargne libre d’impôt, grâce à sa flexibilité, est une nouveauté très utile pour la planification financière personnelle », explique Debbie Ammeter, vice-présidente de la Planification financière avancée au Groupe Investors.

« Le compte d’épargne libre d’impôt créé par le gouvernement est un excellent véhicule de placement, ajoute Wilmot George, spécialiste, Planification fiscale et successorale, chez Placements Mackenzie. Mais avec un produit aussi versatile, les conseils s’avèrent d’une importance capitale. Un conseiller peut vous aider à déterminer comment intégrer un CELI à votre plan financier global. »

Bien qu’il convienne à quiconque possède des biens investissables, un CELI peut combler divers besoins d’un investisseur à chaque étape de sa vie. Voici quelques exemples :

– Investisseur en quête de souplesse qui désire placer de l’argent tous les ans, mais réticent à bloquer ses actifs à long terme, par crainte de dépenses imprévues (réparations automobiles, rénovations, etc.).

– Investisseur à faible revenu : Généralement plus jeune et dans une tranche d’imposition moins élevée, cet investisseur pourrait opter pour un CELI, à l’abri du fisc – surtout s’il envisage de retirer son argent quand il atteindra une tranche d’imposition plus élevée.

– Investisseur voulant maximiser son REER : Pour ceux qui gagnent un revenu plus élevé et peuvent maximiser leurs cotisations au REER chaque année, les actifs en excédent peuvent être placés dans un CELI pour une économie fiscale supplémentaire. De plus, le remboursement résultant des cotisations au REER peut aider à cotiser au CELI.

– Investisseur désirant fractionner son revenu : Dans un couple marié ou de conjoints de fait, si, par exemple, l’une des deux personnes touche un revenu plus élevé que l’autre, elle pourra fractionner son revenu à l’aide du CELI. Chaque conjoint peut cotiser jusqu’à 5 000 $ par an à un CELI. Mais contrairement à un REER, les droits de cotisation à un CELI ne se fondent pas sur le revenu gagné. Le principal soutien de famille peut cotiser 5 000 $ à son propre CELI et donner 5 000 $ pour financer le CELI de son conjoint.

– Investisseur âgé financièrement à l’aise : Les personnes âgées avec des actifs en surplus (en raison des versements obligatoires qu’elles reçoivent de leur FERR, par exemple) peuvent accumuler et retirer des fonds à l’abri de d’impôt dans un CELI, sans que les bénéfices gouvernementaux, comme la Sécurité de la vieillesse et le Supplément de revenu garanti, ne soient diminués.