Le nombre de postes vacants reste inchangé.
Bonifier la rémunération globale devient la priorité.
Les profits des sociétés pourraient encore souffrir, prévient Luc de la Durantaye.
L’Institut du Québec propose des solutions.
Il y a de bonnes raisons d’être optimistes.
Et la majorité n’a pas de fonds d’urgence.
L’inflation aussi, ce qui cause des inquiétudes chez les employés.
Les employeurs devraient en tenir compte.
Mais hausse des postes à plus de 30 $ de l’heure.
Les entreprises sont plus optimistes qu’à l’été.