Faire des études… et des économies d’impôt

Par Michelle Munro | 21 août 2009 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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Lorsque les enfants quittent le giron familial pour entreprendre des études collégiales ou universitaires, la transition peut s’avérer un événement marquant et chargé d’émotions, autant pour eux que pour leurs parents. Néanmoins, c’est aussi dans ces moments-là qu’il faut être pragmatique. Tandis que mes voisins Michel et Sandra aidaient leur fils à faire ses valises en vue de sa première année à l’université, j’en ai profité pour leur conseiller de conserver tous les reçus pour frais de déménagement aux fins de l’impôt. Tout ce qui comptait pour Sarah à ce moment-là, c’était de faire ses adieux à son fils, mais j’ai gentiment insisté pour qu’elle me rencontre le lendemain. Plusieurs mesures de planification fiscale peuvent réduire le coût des études supérieures et je voulais m’assurer qu’elle en était informée. Frais de scolarité, montant relatif aux études et montants pour manuels Les étudiants peuvent réclamer le crédit d’impôt pour études pour le mois ou une partie du mois au cours duquel ils se sont inscrits à des programmes admissibles dans des établissements d’enseignement reconnus. Ces établissements produisent des reçus officiels (un formulaire T2202– Certificat pour montant relatif aux études et montants pour manuels ou un T2202A– Certificat pour frais de scolarité, montant relatif aux études et montants pour manuels) qui indiquent le nombre de mois de fréquentation de l’étudiant. Le montant fédéral accordé est de 400$ par mois pour des études à temps plein et de 120$ par mois pour des études à temps partiel. Les étudiants qui suivent un programme d’études admissible se rapportant à leur emploi peuvent réclamer un crédit d’impôt pour études si aucune des dépenses engagées par l’étudiant n’est remboursée par l’employeur.

Michelle Munro