Les fusions et acquisitions à la hausse en 2024

Par La rédaction | 6 février 2024 | Dernière mise à jour le 5 février 2024
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Des hommes d'affaires se serrent la main au bureau. Groupe d'hommes d'affaires en réunion. Deux entrepreneurs en réunion dans une salle de réunion. Équipe d'affaires en réunion dans un bureau moderne. Femme cadre discutant d'un nouveau projet avec ses collègues. Chef d'entreprise en réunion avec son employé dans son bureau.
filadendron / iStock

L’activité des transactions de fusions et acquisitions devrait augmenter au Canada au cours des 12 à 24 prochains mois, comparativement à 2023, selon 58 % des répondants au sondage sur les perspectives de fusions et acquisitions d’entreprises pour l’année 2024 de l’Institut canadien des experts en évaluation d’entreprises (Institut des CBV).

Ce sondage, mené en ligne entre le 10 janvier 2024 et le 17 janvier 2024, a été réalisé essentiellementauprès des membres de l’Institut des CBV ayant participé à des fusions et acquisitions au cours de la dernière année.

DES SECTEURS VISÉS

Trois secteurs seront particulièrement concernés, selon les membres de l’Institut des CBV, soit :

  • les produits et services industriels,
  • les soins de santé
  • et la technologie.

En outre, les CBV s’attendent à ce que les activités de transactions de fusions et acquisitions transfrontalières impliquant des entreprises canadiennes s’accroissent en 2024, 50 % d’entre eux prévoyant que l’activité sera plus élevée et 37 % que celle-ci se poursuivra à peu près au même rythme qu’en 2023.

LA TAILLE DES TRANSACTIONS

Par ailleurs, seulement 34 % des répondants prévoient que la taille moyenne des transactions augmentera au cours des 12 à 24 prochains mois, tandis que 48 % estiment que la taille moyenne des transactions restera à peu près la même.

LES VENDEURS ET LES ACHETEURS LES PLUS PROBABLES

Concernant les vendeurs les plus probables, 57 % des sondés jugent que les sociétés privées seront les plus susceptibles d’être impliquées dans des activités de transaction plus élevées, suivies par les sociétés en portefeuille de capital privé (36 %).

En ce qui a trait aux acheteurs les plus probables, les CBV sondés ont classé les sociétés privées de capitaux comme étant les plus susceptibles de prendre part à des activités de transaction plus élevées (55 %).

Finalement, les attentes au sujet des acheteurs d’entreprises privées divergent chez les répondants. En effet, 42 % d’entre eux s’attendent à peu près à la même activité, et 40 % à une activité d’achat plus élevée de la part des entreprises privées.

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La rédaction