Banque Nationale : numéro 1 en Amérique du Nord

Par Ronald McKenzie | 11 mai 2011 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
2 minutes de lecture

Banque Nationale Groupe financier est considérée comme la banque ayant les assises financières les plus solides en Amérique du Nord, selon le classement du prestigieux magazine Bloomberg Markets.

Au niveau mondial, la Banque Nationale se classe troisième, coiffant au finish ses concurrentes CIBC (4e), Toronto-Dominion (12e), RBC (17e) et BMO (19e). Elle a également devancé des géants tels que UBS, Credit Suisse, JPMorgan Chase et Citigroup.

Les deux premiers rangs du palmarès mondial de Bloomberg sont occupés, dans l’ordre, par une institution de Singapour (Overseas-Chinese Bank) et une banque suédoise, la Svenska Handelsbanken AB.

Bloomberg a établi son classement en analysant cinq critères : le ratio des fonds propres de catégorie 1, la proportion de prêts non performants, les réserves prévues en cas de pertes sur prêts, la stabilité, mesurée par l’importance des dépôts dans ses activités de financement, et l’efficacité de gestion. Pour faire partie de l’échantillonnage, il fallait posséder des actifs de 100 milliards de dollars ou plus.

La Banque Nationale a décroché ses plus fortes notes pour le critère d’efficacité de gestion et celui des réserves pour pertes sur prêts. En ce qui concerne le critère le plus important du classement, c’est-à-dire le ratio des fonds propres de catégorie 1, elle a mérité la 8e meilleure note parmi les 20 finalistes.

« Il s’agit d’une reconnaissance d’envergure pour la banque et ceux qui participent à son succès. D’année en année, le groupe financier et ses employés se font un point d’honneur d’être un moteur de développement, de demeurer près des clients afin de les appuyer le mieux possible dans la réalisation de leurs projets. En figurant parmi les meilleurs au monde, la banque est mieux placée que jamais pour poursuivre ce travail et créer une richesse mesurable pour tous », a déclaré Louis Vachon, pdg de Banque Nationale Groupe financier.

Ronald McKenzie