Vos clients souffrent de « carence en FERR »?

Par La rédaction | 23 octobre 2018 | Dernière mise à jour le 15 août 2023
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Photo : blocberry / 123RF

« Si vous souffrez de carence en FERR ou en REER, du trouble de l’argent vite fait, d’assuranceporose, de hernie fiscale ou de toute autre maladie susceptible d’affecter votre santé financière, consultez sans tarder! Un professionnel membre de la CSF peut vous aider. »

Par le biais de capsules audio de 15 secondes diffusées à la radio, sur le Web et les médias sociaux, la Chambre de la sécurité financière a lancé lundi une opération destinée à décrire les obligations des conseillers envers leurs clients, comme celles d’expliquer les solutions d’assurance ou d’épargne,  d’évaluer la tolérance au risque et de conseiller les produits qui conviennent le mieux aux consommateurs de services et produits financiers.

La CSF a également fait installer des panneaux publicitaires dans plusieurs endroits stratégiques à Montréal et un peu partout ailleurs dans la province. Son message? « Prévenir les maladies transmises financièrement. »

« IL EST IMPORTANT DE CONSULTER »

Dans la même veine que ses précédentes opérations de communication lancées depuis 2016, les messages de la Chambre parlent de santé financière en expliquant à M. et Mme Tout-le-monde qui sont vraiment les conseillers, à savoir « des professionnels sur lesquels ils peuvent compter, au même titre qu’on peut compter sur les professionnels de la santé ». Cette année, l’organisme précise avoir décidé de jouer sur deux tableaux. D’abord sur les obligations professionnelles des conseillers, « qui font en sorte que leurs clients sont protégés »; ensuite sur la prévention, « qui repose sur la formation continue et la déontologie ».

« Prévenir les maladies transmises financièrement » est un message « qui vise à dire aux consommateurs que la santé financière, c’est sérieux, et qu’il est important de consulter », souligne la Chambre. Et parmi ces « maladies », qui sont mentionnées dans des messages diffusés sur le Web et les médias sociaux, la CSF cite « la dépensionite sévère, la surassurance aiguë, la carence en FERR [fonds enregistré de revenu de retraite] et en REER [régime enregistré d’épargne-retraite], le syndrome de la retraite irritable ou encore le trouble de l’argent vite fait ».

Et il y en a d’autres, ajoute-t-elle, comme « l’assuranceporose ou la bactérie mangeuse d’épargne », qui sont toutes des affections « susceptibles d’affecter la santé financière de vos clients, et pour lesquelles ils peuvent vous consulter afin de se faire prescrire le bon remède ».

La rédaction