5 faux pas en marketing numérique

Par La rédaction | 5 février 2014 | Dernière mise à jour le 16 août 2023
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Le commerce électronique intéresse chaque année davantage d’entreprises. En ce début de 2014, vos clients propriétaires de PME pourraient prendre des résolutions d’actions… à ne pas faire en marketing web! C’est ce que suggère la journaliste Erin Bury, dans un article du Financial Post.

1. Je n’épandrai pas trop ma présence sur internet

Avec la multitude d’applications sociales, il peut être tentant de créer des profils pour son entreprise sur le plus d’outils possibles. Mais la mise à jour de tous ces comptes peut demander beaucoup de temps et d’efforts. Après tout, aucun client ne souhaite tomber sur un compte Twitter d’entreprise dont le dernier message remonte à 2012! Mieux vaut choisir deux ou trois plateformes que l’on entretiendra régulièrement – que cela soit une page Facebook, un blogue ou un compte sur un outil récent comme les vidéos Vine.

2. Mais je n’aurai pas peur d’essayer quelque chose de nouveau

L’avantage d’une petite entreprise est qu’elle n’a pas besoin d’une douzaine d’approbations avant de créer un compte ou de diffuser un message sur un média social. L’image n’est pas exagérée puisqu’on apprenait récemment que chaque gazouillis envoyé par Industrie Canada devait passer à travers environ une douzaine de niveaux d’approbation de fonctionnaires.

Le « microcontenu » est une tendance qui a débuté en 2013 et qui devrait se poursuivre cette année. Plutôt que de produire de longues vidéos ou de longs billets de blogue, on crée des messages éclair, comme les vidéos de six secondes sur Vine.

3. J’évaluerai les nouvelles possibilités de publicité web

En 2013, Twitter a ouvert ses bureaux canadiens et lançait en novembre dernier sa plateforme de publicité en libre-service pour les utilisateurs canadiens. Les petites entreprises peuvent désormais diffuser des messages commandités, comme on peut le faire également sur Facebook auprès d’un auditoire ciblé.

4. Je ne serai pas le prochain « gaffeur » sur les réseaux sociaux

Les entrepreneurs n’ont habituellement pas d’équipe d’avocats ou de relations publiques pour les conseiller lorsqu’ils diffusent des messages. C’est bon pour la flexibilité, mais cela peut aussi faire en sorte que l’on manque de recul, et que l’on appuie sur « envoyer » un peu trop vite. De manière générale, il faut rester courtois et éviter tout « affrontement » en ligne avec un client insatisfait.

5. Je me tournerai vers le commerce électronique

Si une PME n’utilise pas encore le commerce électronique, l’année 2014 sera peut-être le moment d’amorcer le virage. Plusieurs sites permettent maintenant de lancer un module de ventes en ligne, sans avoir à programmer une seule ligne de code. C’est le cas notamment des plateformes Shopify, Etsy et ShopLocket.

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La rédaction