Le marché d’actions n’est pas l’économie, et vice versa, rappelle Craig Jerusalim.
Bien que la volatilité demeure une inquiétude, estime Greg Zdzienicki.
C’est ce que propose cette étude.
Pour se remettre à acheter.
Mais gare à la volatilité...
La fin du cycle économique pourrait affecter les marchés.
La prudence est aussi de mise du côté des devises.
Surtout si c’est la peur qui vous guide.
Il y a encore de bonnes raisons de détenir des actions.
Un Québécois sur trois ne voit pas la différence.