C’est ce que propose cette étude.
Pour se remettre à acheter.
Mais gare à la volatilité...
La fin du cycle économique pourrait affecter les marchés.
La prudence est aussi de mise du côté des devises.
Surtout si c’est la peur qui vous guide.
Il y a encore de bonnes raisons de détenir des actions.
Un Québécois sur trois ne voit pas la différence.
Mais le contexte est favorable aux actions, selon BMO.
Ces quelques signes annonceraient une période trouble.